Plongez dans l’univers inspirant de Guislaine Westelynck, présidente de la Fédération française handisport et ancienne médaillée paralympique. Après une découverte salvatrice de la natation à l’adolescence, elle a transformé sa passion en un engagement profond pour le sport inclusif, prônant l’autonomie et l’épanouissement personnel.
Quel est le secret qui lie Guislaine à l’eau chaque dimanche matin ? Comment son parcours exceptionnel continue-t-il d’influencer le monde du sport ? Découvrez les réponses fascinantes et bien plus encore dans cet article captivant !
Le parcours inspirant de Guislaine Westelynck
À l’adolescence, Guislaine Westelynck découvre la natation dans un centre de rééducation après avoir été diagnostiquée d’une maladie apparentée à l’ostéogenèse suite à une chute à 9 ans. Ce sport devient rapidement un refuge et un moyen de se reconstruire.
Ancienne athlète de haut niveau, elle décroche une médaille aux Jeux Paralympiques de Séoul en 1988. Le sport a joué un rôle crucial dans son épanouissement personnel et professionnel, révélant des forces intérieures qui l’ont guidée tout au long de sa vie.
Le rôle du club handisport de Marseille
Le club handisport de Marseille a été un pilier essentiel dans la vie de Guislaine Westelynck, offrant un espace de soutien et d’échange. Ce lieu est devenu un refuge où elle a pu partager ses expériences avec d’autres personnes en situation de handicap.
En tant qu’entraîneuse de l’équipe de France féminine de natation handisport de 1991 à 2010, elle a contribué au développement du sport pour les personnes handicapées. Son engagement a permis à de nombreux athlètes de s’épanouir, renforçant l’importance du sport comme vecteur d’autonomie et de bien-être.
Une passion inébranlable pour la natation
Chaque dimanche matin, Guislaine Westelynck se plonge dans l’eau pour deux heures de natation, un rituel essentiel à son équilibre. Si elle manque ce rendez-vous, elle ressent un vide, tant cette pratique est ancrée dans sa vie. Pour elle, le sport est un puissant vecteur d’autonomie et de liberté.
Elle milite pour que les sportifs handicapés soient reconnus comme des athlètes à part entière. Sa philosophie prône l’importance de trouver une activité qui procure joie et épanouissement, soulignant que le sport doit être accessible à tous, au-delà de la compétition.